Mes larmes ont défilé aux rythmes des stations,
Au violon pleurnichant des notes de détresse
J’ai saigné tous mes maux en musique assassine
J’ai vidé toutes mes tripes à vomir mes peines.
Le regard traînant sur quelques vagues silhouettes
Pensées évadées dans de sombres ténèbres
Denier arrêt aux portes des noirceurs
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